Voici quelques documents pour travailler sur Scratch.

Pour démarrer la programmation de façon ludique et simple je vous recommande de vous créer un compte sur code.org

Le principe est le même que scratch mais avec un accompagnement très explicite et progressif qui permet de comprendre et mémoriser le principe d’un algorithme.

1.La construction du récit

Pour raconter, entre 4 et 9 ans, les enfants développent 3 stratégies selon leur âge lorsqu’on leur demande de produire un discours à partir d’une série d’images sans texte qui raconte une histoire.

  • vers 4 – 5 ans c’est la phase procédurale. Il y a une énumération mais pas d’organisation globale du discours. Le discours produit manque de cohérence. Il est géré directement à partir de ce que les images montrent, rien n’est planifié ou organisé.
  • vers 6 -7 ans c’est la phase méta-procédurale. L’organisation prend le dessus mais au détriment de l’image. Il y a une unité narrative mais l’histoire est pauvre car il ne fait pas référence aux images. Néanmoins, l’enfant a intégré la structure du récit:
    • exposition (situation initiale stable : il était une fois..) ,
    • complication (élément déclencheur : mais…) ,
    • résolution (retour à une situation finale stable ) 
    • évaluation (moralité )

L’enfant ne peut pas encore prendre en compte 2 choses à la fois : une organisation d’ensemble et la prise en compte de détails. 

  • vers 8-9 ans c’est la phase interactive. Il existe maintenant un va-et-vient entre l’image et l’interprétation globale. L’enfant utilise ses connaissances pour interpréter ce qu’il voit et s’il fait référence à des faits qui ne sont pas sur les images, il prendra soin de relier ce qu’il dit à des détails de l’image. Le discours est donc à la fois bien construit et enrichi de détails.

Que faire à l’école?

Il faut :

  • se rappeler que l’enfant qui arrive à l’école a déjà une grande quantité de savoirs construits sur sa langue et le langage quelque soit sa langue d’origine.
  • se rappeler qu’il y a une différence entre production et compréhension.

Le langage se travaille de 2 manières :

  • il doit être au cœur des apprentissage en maternelle. Pour chaque séance, il faut une rubrique d’acquisition langagière (par exemple en EPS) et ne pas donner trop d’information en même temps.
  • il est un objet d’enseignement. Il faut prévoir des séances d’acquisitions de syntaxe et de lexique dans des situations de communication:
    • phonologie (prononciation et articulation)
    • chants et comptines (mémorisation d’un texte, de la syntaxe, de l’articulation, du vocabulaire..)
    • découverte du langage écrit (graphisme, production d’écrit..)

2. Les types de langage

On distingue 3 types de langage:

  • communication: c’est la base, communiquer avec les enfants et les faire communiquer entre eux.
  • situation: parler de quelque choses que je suis entrain de vivre, le nommer, le décrire.
  • évocation: qu’est ce qu’on a fait hier, à partir de photos de choses réalisées en classe, introduire la chronologie. Évoquer des souvenirs, la mémoire, utiliser des connecteurs.

3. Les objectifs langagiers

  • construire la personnalité, devenir un individu,
  • devenir un être sociable,
  • acquérir du vocabulaire et la syntaxe,
  • entrer dans l’abstraction et construire sa pensée, un schéma de pensée et permettre de faire des liens avec les autres champs disciplinaires.

1.La syntaxe

1.1 La longueur de la phrase

A 18 mois, l’enfant connait entre 20 et 50 mots, il parle par phrase mot. Ce sont des holophrases. Par exemple: « ballon » signifie aussi bien « c’est le ballon » que « donne moi le ballon ».

Entre 21 mois et 2 ans: l’enfant fait des phrases à 2 mots. Comme « maman dodo » pour maman est entrain de dormir.

Vers 3 ans, on observe un brusque développement du langage:

  • L’enfant utilise des adverbes de lieu, des prépositions, des conjonctions qui marquent l’opposition (mais, pourtant..)
  • L’enfant connait son nom, celui de ses parents et sait s’il est de sexe féminin ou masculin.
  • Les phrases sont mieux organisées et l’enfant devient capable de dire des phrases qu’il n’a jamais entendues. Il aime poser des questions et verbalise ses actions.
  • La question du je est formée. Quand l’enfant dit je, c’est qu’il a fait le tour de sa personne. On le constate en lui demandant de dessiner un cercle fermé (un rond). Tant qu’il n’arrive pas à fermer le cercle, il n’a pas fait le tour et n’emploie pas le je.

A cet age là, parler du passé est difficile. L’utilisation de celui-ci apparaît entre 4 et 5 ans : » je me souviens de ce qu’il s’est passé.. ».

Vers 5 ans, il fait des phrases à 5 mots.

1.2 L’ordre des mots dans la phrase

Chez l’enfant, la construction des phrases est créative mais porteuse de sens. Le mot le plus important vient en premier. Alors que pour l’adulte, la structuration des phrases a un caractère canonique:

Le petit garçon (agent) lance (action) le ballon (patient)


Pour l’adulte, l’ordre des groupes est régulier c’est à dire que dans une phrase simple, il y a en général : groupe nominal, groupe verbal.

Il faut bien se rendre compte que l’ordre de l’énoncé dans la phrase tel qu’on la connait a un caractère arbitraire. Il n’y a pas de correspondance entre la structure des phrases et les actions auxquelles elles se rapportent. Il s’agit de conventions d’écriture. Ainsi, il n’y a pas de logique interne ce qui rendra la chose plus difficile à comprendre pour l’enfant.

C’est pourquoi, les premières phrases que l’enfant produit n’ont pas la construction canonique que l’on connait car l’enfant cherche toujours du sens dans ses constructions, comme dans tout ce qu’il fait.
Une construction fréquente chez l’enfant : Petit garçon ballon lance

D’après Oléron, les phrases de l’enfant portent au départ sur des personnes ou/et des actions concrètes. Il décrira en premier en premier l’agent (celui qui agit) celui qui a le plus d’importance pour lui puis décrira le patient (ce sur quoi s’exerce l’action).  
Par contre, il se peut que l’action soit primordiale si c’est elle qui a le plus marqué l’enfant : a tombé le garçon.

Les régularités de la syntaxe sont intégrés vers 6 ans selon l’expérience de
Sinclair et Bronckart, 1972

Dans cette expérience il est demandé aux enfants de construire avec des poupées le mime d’une action à partir de 3 mots. Les triplets sont constitués de 2 noms et d’un verbe avec les 6 combinaisons possibles : « la fille, le garçon, pousse » ;  » la fille, pousse, le garçon » ; « pousse, la fille, le garçon »…

L’expérience montre que : 

  • Avant 3 ans : les enfants sont indifférents à l’ordre des mots, ils répondent toujours de la même manière. 
  • A partir de 3 ans : ils respectent l’ordre nom –> verbe –> nom, seulement s’il est canonique : « la fille, pousse, le garçon » ils montrent que la fille pousse le garçon,… mais, s’ils ont une phrase comme « pousse, la fille, le garçon »… ils répondent au hasard sans trouver de sens. 
  • A 6 ans, ils considèrent que le premier nom donné est toujours l’agent de l’action et le second le patient quelle que soit la phrase. L’enfant a donc intégré la structure canonique de la phrase simple. A force de manipuler la langue, l’enfant accroît sa connaissance des règles qui régissent la structure de la phrase, et il apprend l’ordre canonique des mots.

L’usage des petits mots autour du groupe nominal se développe progressivement. Les articles, pronoms, prépositions, adverbes apparaissent peu à peu mais suivent un même ordre chronologique. Les âges d’acquisition sont très approximatifs. 

Par exemple:

  • Les articles indéfinis précèdent les articles définis. 
  • L’accord en genre des articles précède l’accord en nombre. 
  • L’usage des articles définis et indéfinis est souvent inversé jusqu’à 6 ans.
  • Les pronoms personnels de la 1° et de la 2° personne précédent ceux de la 3°, sauf si l’enfant commence à dire « il » en parlant de lui-même. 
  • Les pronoms possessifs sont accolés à l’adjectif correspondant jusqu’à 5 ans (mon mien).

2. La conjugaison

A partir de 3 ans et demi, l’enfant commence à utiliser à conjugaison. Les enfants maîtrisent d’abord l’impératif (donne!) puis l’infinitif (pas manger).

Vers 4 ans, l’enfant commence à utiliser le présent de l’indicatif.

L’utilisation du futur apparaît vers 5 ans. L’imparfait et le passé-composé vont être utilisés vers l’age de 5 ans- 5 ans et demi. C’est au cours de cette période, on remarque la généralisation incorrecte de la conjugaison: buver/boire, ouvri/ouvert. .. L’enfant a intégré les caractéristiques des verbes les plus courants et il les applique à des verbes nouveaux qu’il ne connaît pas encore (irréguliers). Ces erreurs montrent qu’il a compris comment fonctionne la langue mais qu’il lui manque encore des connaissances. 

Après 6 ans, on trouve une utilisation adéquate des temps des verbes : le présent est employé pour une action actuelle, le passé-composé et l’imparfait pour une action ancienne.

3. Conclusion

C’est un travail de longue haleine que de maîtriser la conjugaison et la syntaxe. En effet, même si les progrès effectués au début sont spectaculaires, en particulier l’accroissement du lexique entre 2 et 5 ans, l’élaboration qualitative du langage est très lente.

A 5-6 ans, on peut dire que l’enfant possède déjà un panel élaboré de représentation et de communication, mais il reste des éléments difficiles à acquérir.

A 6 ans, même si la phrase simple est à peu près construite de manière canonique, il reste encore beaucoup de choses à apprendre tant sur le plan de la compréhension que de la production des structures complexes.
En particulier, la phrase passive qui entre en conflit avec cette connaissance : le sujet apparent de la phrase n’est pas l’agent de l’action. Celle-ci mais elle ne sera complètement intégrée que vers 9-10 ans.

Les propositions relatives ne sont parfaitement maîtrisées que vers l’âge de 10 ans.

1.Le développement du langage chez l’enfant

  • de 12 à 24 mois: l’enfant dit 5 mots. Il identifie, montre ou donne les objets. La phrase fait 2 mots.
  • de 2 à 3 ans: l’enfant fait des phrase de 3 mots. Il utilise son prénom quand il parle de lui, dit « je », utilise l’article (la, une, ..) des pronoms personnels et comprend les prépositions  » dans, sur ». Cents mots sont reconnaissable. Il pose des question quoi, où, comment..
  • 3 à 4 ans: l’enfant parle par phrases complètes, articule clairement.
    Sans substitution de sens, il récite la suite des premiers chiffres.
  • 4 à 5 ans: l’enfant raconte des histoires connues, répond au téléphone, cite une émission TV, fait des phrases complexes, nomme les couleurs, dénombre et compte jusqu’à 5.

Dénombrer c’est faire preuve d’abstraction, c’est conceptualiser une quantité.

2.Les périodes essentielles

Il y a 2 périodes essentielles et repérables dans l’évolution du langage oral. La période pré-linguistique avant que l’enfant ne parle et la période linguistique proprement dite. Ces périodes dépendent de plusieurs facteurs et de leur développement.

  • 2.1 La maturation neurologique

L’évolution langagière entre 2 et 4 ans  est concomitante avec le développement du cerveau. Si l’enfant n’a pas appris une langue au delà de 5 ans .. c’est « fini »!

Cf: les expériences de Frédéric 2 de Prusse et l’affaire de l’enfant sauvage. 

Aussi le langage se développe et a besoin d’être stimuler. Cette aire du cerveau se développe jusqu’à 5-6 ans. 

2.2 L’apprentissage

Le langage in utero est fondamentale. Le bain de langage va conditionner les capacités d’expression selon le milieu socio-professionnel. 

La progression de l’apprentissage du lexique :

Dans un premier temps, l’enfant attribue une étiquette verbale à chaque objet ou à chaque événement de son environnement. Néanmoins, il peut se tromper de mot au début de l’acquisition.

Attention un mot ne peut être considérer comme acquis que s’il existe un ensemble de connaissances qui y sont associées. Aussi, l’enfants est prêt pour la lecture vers 6 ans car il a la connaissance du sens des mots  

2.3 L’entrainement de l’appareil phonatoire

A la naissance, l’enfant crie, pleure, émet des sons végétatifs. Il utilise le « conduit » mais n’utilise pas le larynx. 

2 mois: sons vocaliques, A, I, O.. les mêmes sons sont émis pour tous. 

4-5 mois: utilisation du larynx, respiration => modulation des sons 

6 mois: babillage, il émet des sons avec des voyelles, ces derniers renvoient à la langue dans laquelle baigne le bébé. C’est à ce moment que ce fait la différenciation du point de vu de la langue. Avant tous les bébés du monde émettent les mêmes sons. 

8 mois: l’enfant ajoute la modulation du son et le rythme. 

2.4 Les repères concernant le lexique 

Le nombre de mots compris par l’enfant est supérieur au nombre de mots utilisés par celui-ci. 

Le développement quantitatif  du lexique chez l’enfant, c’est à dire le nombre de mots employés par ce dernier est tel que: 

  • 18 mois à 2 ans: 50 mots,
  • 6 ans: 2 500 mots, à cette période il acquière 1 à 2 nouveau mots de vocabulaire par jour et ce pendant les 4 années suivantes. On comprendra le rôle crucial de l’enseignant dans le développement du lexique chez l’élève et ce en particulier dans les écoles en REP et REP+. 

Un adulte cultivé dispose de 20 000 à 40 000 mots de vocabulaire. 

3. Les aspects qualitatifs du lexique

L’affinement est beaucoup plus progressif. On observe des progrès dans les différents domaines à des âges variables:

  • l’enfant est capable de ne plus faire d’erreur dans la correspondance nom- objet (mouche pour abeille par exemple),
  • l’enfant prononce un mot long en entier comme trottinette,
  • il apprend les termes génériques c’est à dire les catégories,
  • il crée des mots pour compléter son lexique comme massager pour faire un massage.
  • il comprend qu’un mot peut avoir différente signification (tente/tante)
  • il comprend les mots abstraits ou les mots qui expriment des relations ( causalité ou rapport de langue)
  • les définitions demandent un plus grand développement cognitif car cela nécessite une prise de distance à l’égard du mot.

En conclusion, il est important que l’enfant apprenne du vocabulaire. Mais cet apprentissage doit être fait en situation, structuré et organisé afin de permettre à l’élève de se créer des registres .

La copie et la dictée

Les programmes du cycle 2 modifié par le BO 2018

Copier poésie, recette de cuisine..

La dictée a une place très importante. P65 séance type lire/écrire. Favoriser la mémorisation de l’orthographe lexicale et grammatical. Acquisition des correspondance graphème/phonème.

1 Enseignement de CGP au CP ?

Étape 1 : visuelle

  1. Présentation du nouveau graphème : on sépare en 2 les 4 typologie d’écriture. R r,/ R r.On va dire que l’un c’est pour écrire et l’autre c’est pour lire. On va laisser les élèves faire des observations sur les lettres
  2. Distinction avec des lettres connues ou proches. Le U /u avec le N/n par exemple. Ce qui va être problématique c’est le A , le O le C. Celles qui posent problèmes ce sont les lettres scripts.
  3. On va donner des lettres à retrouver dans des lignes avec les deux types d’écriture cursive et script. c’est un dressage de l’œil. On est que dans l’aspect visuel. Boite avec des mélange de lettres, des lignes à entourer, => première entrée entrée visuelle.
  4. Une fois que cette première entrée est bien travailler alors on va dire son nom et son son. Par contre quand on fait des graphèmes complexes, il y a des enfants qui ont des problèmes articulatoires, il faut les faire travailler avec un miroir. Les inviter a exagérer le geste.

Étape 2 : Écriture

  1. Le geste d’écriture : travail des lettres majuscules cursives. Premier jour écriture de lettre, syllabe et mots et le deuxième jour des mots, des groupes nominale, des phrases.
  2.  : de syllabes jour 1 et jour 2 dictée de mots/ phrase.

Étape 3 : Lecture :

  1. Entraînement de lecture de syllabes, de mots et de phrases. A partir de la 3 me semaine. Dès la 3ème consonne on peut faire des phrases toutes simples. 14 à 15 graphème acquis mi novembre.

2 Arrivée au CE1

Travail de liaison CP-CE1 pour savoir où en sont les élèves.

En septembre protocole d’évaluation diagnostique.

Les lettres sont présentées sous les 3 écritures dans un tableau. On demande d’abord le nom de la lettre puis le son.

Puis travailler la partie lire, lecture de syllabe avec la réversibilité. Les mots de lexique courant. Puis lecture des consonnes difficiles et des mots outils. Enfin des syllabes complexes, symétrie graphique ou auditives et les mots qui vont avec.

Lecture d’un texte à haute voix et un autre texte en lecture silencieuse avec restitution de l’histoire.

Puis une dictée de lettres/ sons.

Leur faire copier eu phrase en script à copier en cursive.

Écrire des mots, des phrases.

Tableau récapitulatif de Sprenger Charolle sur eduscol par ordre de fréquence et à partir des résultats organiser la programmation annuelle.

3 Pourquoi travailler la copie et la dictée ?

Faire souvent de la copie permet de mémoriser les graphèmes, les syllabes et l’orthographe des mots.

A la fin de chaque temps de copie ou de dictée. Choisir les mots que l’on veut absolument mettre en mémoire. Les même mots doivent se retrouver en lecture, en copie, en dictée et écriture.

Voir échelle de fréquence sur eduscol des mots du quotidien. Définir la progression sur la journée.

Il faut entendre chaque phonème dans chaque syllabe.

Les activités de copie vont favoriser l’orthographe.

Les activités copie et dictée doivent être quotidienne pour porter ses fruits à long terme.

3.1 La copie

Constat les activités de copie tend à être délaissée à l’école primaire au profit de la photocopie et l’utilisation de fichier.

Les fichiers, les ardoises, les photocopies ne sont pas normés (pas de ligne) et pas de trace de leur évolution et des progrès.

Les évaluations nationales et internationales indiquent les difficultés de copie des élèves. Il faut développer les compétences des élèves tout au long de l’année. Mettre en place des stratégies de copie.

Les stratégies en variant la typologie d’exercice. Il est important de relire sa copie. Pour ce faire il faut avoir des critères de réussite. Apprendre à se corriger, apprendre à corriger son voisin.

Voir les livret des CE1. -> voir sur eduscol. Ecrire / copier.

 :Quand on copie un mot on se le repète plusieurs fois, on le relit le début du mot pour voir où on en est. Les élèves doivent avoir besoin de vérifier l’écriture des lettres.

Memorisation par decoupage syllabique, par épélation.

Criteres d’évaluation poru la copie différée : temps, nombre de mots copiés, le nombre de fois où ils retournent la feuille, l’oralisation

Mémorisation en plaçant le texte à distance. Activité de vérification et de mémorisation. Subvocalisation de la phrase.

Copie de mots pour mettre en mémoire l’orthographe des mots. L’enfant doit comprendre ce qu’il lit.

L’enfant doit connaître le nom des lettres pour l’activité d’épélation et le dictionnaire.

Centrer l’attention sur des élèments de langue.

Pas plus de 10 à 15 min.

Méthode la martinière : d’aobrd je n’ai rien dans mes mains. l’élève observe il n’a rien dans les mains, puis je signal qu’ils peuvent écrirent, et puis je signale qu’ils peuvent montrer.

Il faut que chaque enfant puisse produirre son effort cognitif sur ces 3 temps.

Mais attention l’ardoise ne permet pas de trace ecrite sinon il faut avoir un tabeau pour relever les erreurs des élèves.

Travaux de jocelyne Jaçon création d’outils pour dire qu’est ce qu’on utilise comme technique pour mémoriser le mot pour la copie. Loupe, appareil photo, et ciseau/

3.2 Les stratégies de copie à enseigner.

  • Regarder et analyser le mot.
  • Le prononcer
  • L’élepler lettre à lettre surtout poure les mots régulier.
  • Le découper le sullabe
  • Le mettre en mémoire
  • L’écrire
  • Le relire pour vérifier sa production en cas d’erreur.
  • Mettre en mémoire : orthorgraphe et stratégies utilisées.

On retient 3 mots : on epele collectivement 3 foi puis chacun epele dans sa tete 3 fois puis interroger.

L’enseignant prépare le matériel, signifie l’objectif, identifie, rappele et automatise les str atégoes, passer lde la lettre a la syllabe,au mot ay groupe de mot. Rappeler les outils à dispo er institutionnaliser.

Propositions d’activités.

Copie encadrée ( au tableau) . Ou copie eclair ( sur des cartes) .. cf power point.

Developper l’empan visuel en actvité de rupture

4.la dictée

Voir document la dictée au cp 100 % réussite

La dictée est une activité d’apprentissage et d’entrainement.

nota : les catégories de mots .. le faire régulièrement.

La dictée s’inscrit dans une programmation raisonnée des apprentissages. Elle ne peut porter que sur des notions qui font lo’objet ou fait l’objet d’un enseignement explicite.

Les différentes dictées : dictée de syllabes, dictée de mot, dictée à l’adulte, la dictée sans erreur, la phrase dictée du jour, la dictée hebdoadaire, la dictée frigo, la dictée négociée.

Lors de la dictée décortiquer avec eux les étapes de réalisation de la dictée : accord sujet verbe, accord gn…

2eme lecture pour que les élèves soient sûres de n’avoir pas oublié un mot.

Dictée négociée chacun doit avoir un rôle dans le groupe. ( un eleve qui est chargé de la ponctuation, un élève qui vérifie les leçons et un qui ecrit) 3 phrases et le stylo tourne.

https://www.reseau-canope.fr/BSD/sequence.aspx?bl0c=729

Dictée frigo : phase de dictée, analyse du corpus (reperer les erreurs) et mise en commun, autocorrection sans aide devant les yeux, soit recopier ou de vérifier encore. => avantage révision de la production.

La copie centre le regard sur la succession des lettres et leur ordre et en ce
sens permet la mémorisation des graphèmes, des syllabes et donc de
l’orthographe des mots.
 La copie et la dictée sont une aide dans l’apprentissage du décodage des
syllabes, à la lecture des mots, des phrases

La fluence

On part d’un questionnement : qu’est ce que le fluence et pourquoi l’accent est il mis dessus ?

Texte présenté à l’envers.

Obstacle pour petit lecteur : Où commence le texte ? Sur quelle page ? Où faut il commencer à lire.

Il faut peut être faire un rappel en début d’année. +> l’importance de l’ordre des lettres dans le mot.

Quand le texte est trop long alors l’élève se décourage.

L’élève oublie ce qu’il a lu donc la lecture mais pas le sens.

Lire est une tache complexe. C’est à la fois indentifier les mots et comprendre le sens.

Il est important de faire des séances de compréhension orale pour enrichire le vocabulaire des élèves.

Décoder /deciffrer c’est indentifier des mots. On leur apprend d’abord la voix indirect ou voie directe. Mot reconnu ou identifié.

Employé le mot lecture rapide et sans erreur et avec une intonation adaptée.Habilité à grouper les mots syntaxiques de sens.

Entrainement de mots isolés et entrainement de mots en contexte.

La première prise d’indice pour l’enseignant est la première lecture de l’élève. Faire distingo entre cette prise d’indice et la stratégie qu’on va mettre en place.

30 mots en mars et 50 mots en juin sur le texte de référence cp DINO

En CE1 sous 41 mots minutes gradne urgence et 52 mots minutes c’est encore des élèves en difficulté.

Impregnation syllabique.

Donner systématiquement le déterminant devant le nom. Un ou Une. Pas le la ou l’ car plus difficile pour le masc/feminin.

Donner liste de mot plus importante quand mots de la même famille grand gra,deur, agrandir, ..

Je fais la lecture pour le décodage. Lecture robot ruthme marqué pour les élèves. Ils identifient quels mots pourraient leur poser problème.

Deuxième lecture pour la compréhension

Travailler la ponctuation, la mise en voix, les groupes de souffle. Mais expliquer.

RA16_C2_FRA_CopieOutilService_V3_843411

RA16_C2_FRA_CopieSituationCP_843413

RA16_C2_FRA_DicteeCP_843415

RA16_C2_FRA_LectureOrtho_843417